Les livres et moi, ça a toujours été une histoire d’amour pour la vie !
Enfant, il m’arrivait fréquemment de lire un livre entier à Cultura, ou dans le supermarché le temps que la personne qui m’accompagnait fasse ses courses. Je lisais tellement, et si vite, que j’aurais pu être une vraie ruine en livres. Heureusement, je relisais tous mes livres de nombreuses fois. C’est d’ailleurs toujours le cas aujourd’hui, mais j’aime
Je n’ai jamais été effrayée par le nombre de pages d’un livre, ni par l’âge recommandé au dos des livres pour enfants (à partir de 8 ans, 12 ans…). Je me rappelle me dire que c’était bizarre de se dire que si j’avais 8 ans, je ne devais pas être capable de lire les livres « à partir de 12 ans », je ne comprenais pas pourquoi on indiquait des tranches d’âge sur les livres. Je lisais le magazine « Julie » à l’époque et j’avais été choisie pour « Le club des Testeuses », pour lequel on m’avait envoyé un livre : « Le Worldshaker » à tester et pour lequel j’avais écrit une courte critique.

En 3ème, ma prof de collège nous a fait choisir parmi des livres, c’est là que j’ai choisi le fameux livre dont je vous ai parlé dans cet article. Nous devions écrire une critique littéraire à présenter comme un article de journal. J’avais été très fière du commentaire que la prof m’avait mis sur ce devoir.
À chaque trimestre, quand je ramenais un bon bulletin, j’avais droit à des livres. Lorsque j’étais petite, cela correspondait à une dizaine de livres comme les Grand galop, moins chers que les livres d’adulte, ce qui me semblait énorme ! À chaque anniversaire, chaque Noël, lorsque l’on me demandait ce que je souhaite, je répondais toujours pareil, et on me demandait d’autres idées plus originales.
À chaque départ en vacances, j’ai l’habitude, et ce depuis que je suis enfant, de prendre une dizaine de livres dans ma valise pour un départ d’une dizaine de jours. Entre l’avion aller, l’avion retour, la lecture à la plage ou au bord de la piscine, le matin en me réveillant ou le soir en me couchant… J’ai toujours eu peur de manquer d’un livre en fin de voyage, alors j’ai toujours préféré en prendre plus que pas assez (même si en réalité, je prenais pile ce qu’il me fallait !). J’ai aussi pour tradition à chaque long départ de glisser un classique assez fastidieux à lire (Zola, Stendhal…) pour lequel je repousse toujours la lecture. Ainsi, à la fin d’un voyage, je me retrouvais « forcée » à lire ce fameux livre lorsqu’il ne m’en restait plus aucun autre !
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